La production agricole du Grand Est génère jusqu’à plus de 15 % des ressources du pays. D’ailleurs, avec ces 49 000 exploitations agricoles, il couvre plus de 10 % de la zone productive agricole de la France. Face à ce potentiel économique considérable, les administrateurs agricoles du Grand Est ont lancé 21 juillet 2019, une nouvelle politique agricole qui se repose sur l’exploitation montagneuse. Le projet débute sur le massif vosgien, un territoire à fort potentiel agricole, pourtant mal exploité. Zoom alors sur plus de détails concernant cette réforme politique agricole du Grand Est.
L’agriculture de montagne, la nouvelle politique agricole du Grand Est
L’agriculture reste peu remarquable en montagne. Pourtant, les brebis, les vaches, les bovins, des fruits sauvages y sont normalement présents. Bien qu’elle demande d’énormes investissements, l’agriculture de montagne est une exploitation favorable et rentable pour les zones surpeuplées.
La politique agricole du Grand Est met en avant les techniques de l’agriculture de montagne. Il s’agit effectivement, d’un secteur économique favorable à la région, avec ses énormes surfaces montagneuses. Le projet débute avec le massif vosgien. La politique soutient l’économie rurale et des zones fragiles.
Les contextes déterminants de la politique agricole du Grand Est
Parallèlement à la fête de la Vosgienne, la nouvelle politique agricole du Grand Est, est lancée. Tout d’abord, le massif vosgien est la montagne la plus peuplée de la France. Le territoire reste très étendu, pourtant la surface agricole est limitée. La forêt bloque notamment les zones exploitables et le climat défavorise le développement de l’agriculture. Toutefois, la reforme agriculture est favorable aux potentiels de cette région. En raison de quoi, pour y soutenir les agriculteurs, les acteurs de la politique ont choisi ce massif ?
Les objectifs visés par la politique agricole du Grand Est
La politique agricole du Grand Est vise à appréhender et favoriser toutes les ressources pouvant attribuer dans l’exécution et la réussite du projet. Pour répondre à cette attente, la politique accompagne, suit et contrôle les agriculteurs dans leur secteur. Le but de cette assistance est d’améliorer leurs compétences. En effet, pour répondre à une norme relative aux produits agricoles mondiaux, les acteurs ont besoin de soutien et d’aide concernant les nouvelles techniques et la modernisation en agriculture. Ils pourront mieux faire face à la concurrence.
La réforme tend également à promouvoir les produits agricoles de la région. Pour cela, on projette d’étendre et de développer les marchés pour la vente des produits issus essentiellement de la ferme du massif, mais aussi de ses environs.
En faveur de la protection environnementale, cette politique préserve aussi les ressources naturelles et la biodiversité vosgienne. Des infrastructures prépondérantes et adéquates seront placées sur le lieu, pour valoriser l’espace et améliorer le cadre de vie des habitants.